Pascal Driant – L’apprentissage du golf ? Un marathon !

22.03.24

Pascal DRIANT dirige la branche luxembourgeoise du groupe CAR Avenue et se passionne pour la petite balle blanche depuis quelques années. Rencontre avec un hyperactif qui aborde son entrainement au golf comme on aborde un marathon.

Birdie : Pascal, comment as-tu découvert le golf ?

Pascal : J’ai voulu commencer le golf quand CAR Avenue Luxembourg est devenu partenaire-titre de l’Invitational Golf Cup by Henri Leconte & Friends. Il me semblait important de pouvoir participer pleinement à l’événement ! Ma compagne m’a alors offert mon premier équipement et depuis, je n’ai fait que le compléter, notamment aussi avec des outils technologiques et de nombreuses applis sur mon téléphone.

Birdie : Mais tu es plutôt un grand sportif au départ ?

Pascal : Ah, c’est sûr que j’aimerais bien être aussi bon en golf qu’en course à pied ! Je suis passionné de course à pied depuis plus de trente ans.  J’ai couru des marathons et semi-marathons partout dans le monde, de New-York (où il a quand même fini 101ème, ndlr.) à Paris en passant par Amsterdam. J’ai aussi participé au Grand Trail des Templiers, au Grand Raid de la Réunion, deux fois à la SaintéLyon et puis trois fois au Marathon des Sables… Le sport, c’est la vie.  Je fais aussi un peu de vélo.

Birdie : Quelles sont tes qualités au golf ?

Pascal : J’aime la compétition. J’aime l’entrainement. J’aime me fixer des objectifs et batailler pour les atteindre. J’ai un bon mental.  Je ne lâche jamais rien.

Birdie : Et tes défauts ?

Pascal : Je suis speed. Il me faut trois trous pour me remettre d’un mauvais coup. Je joue souvent avec des partenaires qui jouent bien et je me rends compte que je ne m’entraine pas assez au petit jeu. Le coup de 20 centimètres à la même valeur que celui de 200 mètres.  Il faut que je travaille. J’apprends beaucoup en observant mes partenaires de jeu et en écoutant leurs conseils.

Birdie : Quel est ton parcours préféré ?

Pascal : Au Luxembourg, j’aime beaucoup le Kikuoka. J’aime bien le Belenhaff aussi mais il a encore trop de pièges techniques pour moi. De l’autre côté de la frontière, c’est plutôt Metz-Chérisey. 

Birdie : Et à l’étranger ?

Pascal : Le prochain ! Je pars pour Miami.  J’espère avoir l’occasion de jouer là-bas. Il y a de nombreux magnifiques parcours qui me font rêver en Floride !

Birdie : Pourquoi avoir retenu le golf comme l’un des vecteurs de communication pour CAR Avenue Luxembourg ?

Pascal : Grâce au golf, CAR Avenue Luxembourg touche une clientèle différente de sa clientèle historique.  De nombreux chefs d’entreprises qui ont des flottes professionnelles sont golfeurs. Le golf est un magnifique moyen de rencontrer de nouvelles personnes.  L’image sportive de CAR Avenue n’est plus à démontrer.  Nous sponsorisons aussi le marathon de Luxembourg.

Birdie : Qui est ton golfeur préféré ?

Pascal : C’est une golfeuse !  Céline Boutier bien sûr ! Quand elle a perdu face à l’Australienne Hannah Green à Singapour au début du mois de mars, j’ai été obligé de filer au practice pour me calmer ! Les golfeuses m’épatent par leur précision. A l’opposé, j’aime bien aussi Bryson DeChambeau. C’est un recordman !

Birdie : As-tu un rêve de golfeur ?

Pascal : Progresser, gagner en précision, baisser mon index. Passer en dessous 10… Je suis déterminé. Même si j’ai moins de qualités de base pour le golf que pour la course à pied, je sais que c’est à ma portée.